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Datasheet
| Taille maximale | 5.0cm / 1.97inches |
| Température | 18°C / 64.40°F - 22°C / 71.60°F |
| Dureté | 1.01dgH / 18ppm - 5.04dgH / 90ppm |
| pH | 6.0-7.0 |
Description Générale
L'Aphyosemion Loennbergii est un membre de l'ordre des Cyprinodontiformes et fait partie de la famille des Nothobranchiidae. Ce poisson, qui peut atteindre une taille maximale de 5,0 cm, a été décrit à partir de la rivière "Kribi", désormais connue sous le nom de rivière Kienké, dans le sud-ouest du Cameroun. On le retrouve également dans les bassins versants de Lokundje et Nyong à la suite d'une distribution plus large dans la région.
Setup de l'Aquarium
Pour l'Aphyosemion Loennbergii, il est recommandé de maintenir des conditions d'eau avec une dureté de 18 à 90 ppm, un pH de 6,0 à 7,0 et une température entre 18 et 22°C (voir le tableau pour plus de détails). L'aquarium doit être aménagé en tenant compte de ces paramètres pour assurer le bien-être de ces petits poissons.
Comportement
L'Aphyosemion Loennbergii présente un comportement typique des aplocheiloidés, étant généralement paisible mais pouvant montrer des comportements territoriaux, en particulier pendant la saison de reproduction. Ils sont connus pour être des nageurs vifs et colorés, ajoutant de la vivacité à un aquarium bien aménagé.
Alimentation et Régime Alimentaire
En termes d'alimentation, ces poissons sont des carnivores opportunistes. Leur régime alimentaire comprend des proies vivantes telles que des vers, des daphnies et des larves d'insectes. En captivité, ils peuvent être nourris avec des aliments congelés ou lyophilisés de haute qualité pour garantir une nutrition adéquate.
Reproduction & Dimorphisme
La reproduction de l'Aphyosemion Loennbergii est généralement effectuée par un processus de ponte d'œufs. Les mâles et les femelles présentent des différences de coloration, les mâles arborant souvent des couleurs vives et des motifs plus distincts pour attirer les femelles lors de la parade nuptiale.
Habitat et Distribution
Ces poissons sont originaires du Cameroun, où ils ont été décrits dans la rivière Kienké ainsi que dans les bassins versants de Lokundje et Nyong. Leur distribution plus large dans la région témoigne de leur adaptabilité à différents habitats d'eau douce dans cette zone géographique.